Nous avons le plaisir de vous inviter
à DISEUSES, carte blanche à Nathalie Joly
au Théâtre de Lenche à Marseille
du 16 au 30 mai 2013,
vous trouverez le programme en pièce jointe.
Nous commencerons avec le spectacle Paris Bukarest, sur Maria Tanase qu’on appelait l’Edith Piaf Roumaine, les 16-17-18 mai pour le centenaire de la naissance de Maria Tanase et le cinquantième anniversaire de sa disparition. Puis nous présenterons le diptyque sur Yvette Guilbert « En v’là une drôle d’affaire » (21 au 25 mai) et « Je ne sais quoi » (30 mai), ainsi qu’une proposition sur le parlé chanté « Diseuses d’hier à aujourd’hui » (28-29 mai) avec en invités Valérie joly, le groupe de rap Marseillais DGT Crew. Ensuite, vous pourrez nous retrouver au T.O.P. à Boulogne-Billancourt, puis à L’Européen à Paris…. Bien cordialement,
Marche la route
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PROJECTION-DEBAT
autour du documentaire Gens du voyage –
Bienvenue au cirque
Un film de Fabienne Caraty
Mardi 14 mai 2013 au cinéma Capitole à Avignon
F. Caraty projection film Capitole centre ville Avignon 14 mai 2013
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Et encore un nouveau livre de Marc Bordigoni :
Gens du voyage : droit et vie quotidienne en France
aux éditions DALLOZ
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Passion, rêves et désespoirs
des Roms, dans un voyage musical enlevé
I am open for everything ! Autrement dit : prête à tout et plus, si affinités… Comprenez encore, faites de moi ce que vous voulez… Le titre du spectacle de la chorégraphe Constanza Macras, Open for everything, à l’affiche du festival Exit, à la Maison des arts, à Créteil, lui a été soufflé par Magdolna Rostas lors d’une audition d’interprètes roms, en 2011, à Budapest. Open for everything, Magdolna ? Engagée ! Qui plus est, avec sa fille Rebeka, 12 ans, et son père, Ivan, qui joue les patriarches de la nouvelle tribu Macras avec une pêche contagieuse. Surtout lorsqu’il s’agit de pousser les tables pour danser !
Et quelle fiesta somptueuse qu’Open for everything ! Quel bazar magique aussi, de cris, de rires, de sons, d’éclats de corps, de violons ! Dans la voiture pleine comme un oeuf qui roule sur scène, ils sont quatorze interprètes et cinq musiciens roms (impeccable chef que Marek Balog), originaires de Hongrie, de République tchèque et de Slovaquie. Cinq danseurs contemporains les épaulent. Chacun d’entre eux chaperonne les amateurs au gré de duos ne rveux . « Au début, on ne pouvait pas les toucher, se souvient Constanza Macras. J’ai imaginé ces pas de deux pour les apprivoiser et réussir à danser ensemble. »