La décision du Conseil de Ministre de mettre à l’écart Monsieur Girot de Langlade pour le propos qu’il a récemment tenus était certes attendue mais le contexte dans lequel cette mesure a été prise laisse perplexe. Cet « ancien préfet » a mis en cause directement la décison du Ministre de l’Intérier qui, quelques jour plus tard, a montré qu’il était lui aussi capable de propos pour le moins contestable . Nous renouvelons notre vive inquiétude devant la multiplication de ces paroles irresponsables tenues par des représentants de la puissance publique ou des élus.
Le texte ci-dessous de la médiatrice du journal « le Monde » qui rapporte les réactions de certains de ses lecteurs ne fait que confirmer notre analyse